A la rencontre du sumô: Deuxième jour

Peu de nouveautés aujourd'hui, si ce n'est que je sais combien de temps durent mes piles d'appareil photo, même chargées à bloc : une douzaine d'heures... Bon à savoir pour éviter le coup "sans". Et la batterie du caméscope dure à peu près 20 heures, youpie, elle m'a laché en plein maku-no-uchi dohyô-iri alors que j'avais pris place ce matin, tout en haut en haut, bien en face du dohyô. Tant pis, ce sera pour demain.
Il y avait moins de monde aujourd'hui, ce qui est logique, nous sommes lundi et il faut travailler. Alors quitte à bosser au milieu de mon plaisir, j'ai surtout filmé des shikiri-naoshi des lutteurs non-titulaires et de sekitori, afin d'avoir visuellement les différences. Cela viendra étayer mon argumentation.
J'ai deux heures le midi pour avoir les sekitori en photo. Heu, ça caille dehors en ce moment... Je vais finir par croire que la Bretagne, à côté, c'est les tropiques ! Et j'ai pu voir à quel point John pouvait avoir ses contacts avec des lutteurs, tel Masutôô 舛東欧, à qui il montre son combat je crois.
Demain, je vais peut-être le matin au musée de la photo dont Bastien m'avait parlé, et me garder le restant de la journée pour d'autres idées de photos et ou d'observation. Pour le moment, en ce qui concerne le sumô, je ne pense pas être loin d'avoir vu ou revu ce que j'avais déjà constaté via des vidéos. J'ai quand même repensé à un truc que j'avais zappé, quant à la carrière d'un lutteur : quand celui-ci se retire et qu'il demeure au sein de l'Association de sumô, lors des tournois, il assure la sécurité dans l'enceinte. C'est comme ça qu'hier j'ai pu voir de loin l'ancien yokozuna Musashimaru.